skip to Main Content

Médecin homéopathe à Bruxelles

Le Docteur Guillen-Anaya Roxane est médecin homéopathe uniciste à Bruxelles depuis 2001. Elle a reçu sa formation du Docteur Lefèvre R., homéopathe uniciste diplômé de la «London school of homeopathic medicine ». Durant l’année académique 1998-1999, elle a assisté aux consultations et appris l’anamnèse homéopathique, la répertorisation afin de trouver le remède, et le choix de la dilution. Sa formation de base est « kentiste »°. Par la suite, elle continue l’étude homéopathique au Centre Liégeois d’Homéopathie, et termine sa route au Centre Bruxellois d’Homéopathie Uniciste avec lequel elle reste en contact dans le cadre d’une formation continue. Dans un même temps, elle s’est formée à la nutrition, l’aromathérapie et la gemmothérapie.

A travers ce site, le souhait est d’éveiller les personnes ouvertes aux alternatives thérapeutiques, et de les conforter dans leur conviction qu’il existe d’autres solutions de guérison. Le devoir de la médecine est de garder l’Homme en bonne santé et de ne pas attendre la maladie pour le soigner, car à ce stade nous avons déjà perdu beaucoup de temps. Nous pouvons faire le choix d’entretenir notre corps afin d’éviter ou du moins de ralentir l’apparition d’une quelconque affection.

La formation médicale universitaire de ce jour segmente l’être vivant, alors qu’il est un tout. On ne peut soigner l’Homme sans une vision holistique. L’équilibre de la santé repose sur les trois piliers corps-nutrition-spirituel. Si l’un fait défaut, le déséquilibre s’installera. Chacun peut agir sur ces piliers, et nous pouvons rajouter des thérapeutiques naturelles afin de préserver notre capitale santé.

° James Tyler Kent, médecin homéopathe américain (1849-1916), a écrit un répertoire homéopathique qui est une classification des remèdes par symptôme. Répertoire de base des homéopathes.

Veuillez compléter ce formulaire pour m’écrire

Image CAPTCHA

Cela nous aide à éviter les spams, merci.

« Quand le fait qu’on rencontre est en opposition avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abandonner la théorie, lors même que celle-ci, soutenue par les grands noms, est généralement adoptée. »

Claude Bernard ( 1813-1878)

HOMÉOPATHIE

Parler d’homéopathie, c’est pénétrer dans l’univers des médecines douces qui nous offrent d’autres thérapeutiques dites alternatives, par opposition aux thérapeutiques allopathiques, médicamenteuses de notre médecine scientifique et cartésienne.

Ces deux types de médecines sont souvent présentées comme opposées car leur approche est différente : en homéopathie, « on soigne le malade et non la maladie. » C’est ainsi que le médecin homéopathe tiendra compte du caractère unique de son patient : chaque malade est différent de par sa génétique, sa typologie, son propre vécu depuis la conception,  son passé ancestral, son caractère, son éducation, son environnement,…

On parle aussi « d’énergie vitale », non prouvable scientifiquement.  Les symptômes de la maladie sont considérés en homéopathie comme  l’expression du dysfonctionnement de cette énergie vitale, et les médecines alternatives  essayent de la rééquilibrer. Rééquilibrer, c’est ralentir l’évolution du dysfonctionnel vers le lésionnel, stade de la maladie au sens propre allopathique.

Et plus loin l’homéopathie introduit la pensée de « la mémoire de l’eau ». Le mode d’action thérapeutique est inexpliqué, et le principe actif est indosable. C’est pourquoi on suppose qu’une information transmise par le remède à l’eau, lors de ces multiples dilutions-dynamisations, est gardée en mémoire. Information énergétique ? On ne dispose pas d’appareil capable de la mesurer pour l’instant mais peut-être est-ce dans le monde de la physique quantique qu’une découverte y répondra.

Loin de vouloir alimenter une polémique entre médecine conventionnelle et homéopathie, il est de l’intérêt du patient que les médecins considèrent ces différentes thérapeutiques, car aucune ne peut prétendre être la panacée universelle, soigner tout ni être La vérité. Mais ensemble, elles peuvent conduire le malade vers une amélioration, un bien-être, voire sa guérison.

Et cette guérison dépend en grande partie du patient, car « La force qui est en chacun de nous est notre plus grand médecin. » dixit Hippocrate.

Back To Top